Comment le parcours Chance m'a aidée à (enfin) trouver ma voie

Louise n'était plus satisfaite de la vie professionnelle qu'elle avait choisie. Elle a décidé d’être épaulée par Chance, le parcours de reconversion 100 % en ligne.

Louise, 28 ans, n'était plus satisfaite de la vie professionnelle qu'elle avait choisie : son travail était moyennement stimulant, et récompensé par un bas salaire et un mauvais traitement de la direction. Le tout s’étant soldé par un licenciement économique à la veille du confinement, Louise a décidé de faire un grand ménage de printemps et d’être épaulée par Chance, le parcours de reconversion 100 % en ligne, pour choisir une voie qui l’épanouirait (enfin) vraiment.

Le résultat : un changement fondamental dans sa vie et une grande liberté acquise. Au passage, elle s'est rendu compte que contrairement à ce qu'elle pensait, les gens qui l'entouraient soutenaient grandement sa recherche de satisfaction professionnelle. 

Pour Louise, ce confinement a été l’occasion de se concentrer sur l’essentiel, et de se libérer d’une quantité de carcans qui la bloquaient dans ses élans depuis longtemps. 

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Où était le sens à m’escrimer dans cette voie si peu épanouissante ?

Avant d’être licenciée, j’étais traductrice de vidéos pour une petite startup qui m’a embauchée en CDD. Les vidéos à traduire n’étaient pas passionnantes, mais mes collègues étaient chouettes. En revanche, c’est au niveau du management que ça se corsait : les salaires étaient minuscules, les CDD s’enchaînaient sans jamais devenir des CDI (c’est comme ça que je me suis trouvée au chômage), la couverture maladie était ultra-basique, bref, on était mal traités, très précarisés, ce qui m’a sauté au visage quand j’ai eu un problème de santé il y a quelque temps. J’ai eu l’impression désespérante que mon travail ne m’apporterait jamais ce confort basique : gagner le minimum pour prendre quelques jours de repos et préserver ma santé.

Au bout d’un moment, je me suis demandé où était le sens à m’escrimer dans cette voie si peu épanouissante. Ma famille elle-même, inquiète, a organisé une intervention et m’a incitée à réfléchir en profondeur à mon orientation professionnelle. C’est là que mon frère m’a parlé de Chance, où travaille une de ses amies. Je n’avais absolument rien à perdre, donc je me suis lancée.  

Le confinement m’a… énormément motivée !

Et je me suis lancée… pile au début du confinement. C’était un hasard de calendrier : j’étais déjà décidée à faire un parcours de reconversion, mais le fait que Chance soit à distance ET complètement individualisé était parfaitement compatible avec cette situation exceptionnelle. Et à certains égards, ça m’a même dynamisée : je me suis dit que c’était une opportunité fabuleuse, qui me permettrait d’être sur les starting blocks dès que le monde se remettrait à tourner ! 

Comment Chance m’a définitivement libérée de la peur du jugement (parce que je me suis aperçue que la seule personne à me juger, c’était moi)

Mon principal blocage, mis en évidence pendant mes premières étapes d’introspection et mes échanges avec ma coach Chance, était la peur du jugement. J’étais terrorisée à l’idée que mes proches et amis voient d’un mauvais œil que j’“abandonne” la voie pour laquelle j’avais consacré tant de temps et d’études. Je me disais qu’ils penseraient que je ne m’accrochais pas, qu’ils me trouveraient lâche. Donc ça me paralysait.

Comment le parcours Chance m’a fait évoluer

Quand j’ai commencé le parcours, même dans l’essai gratuit, où l’on commence à se poser les questions sur les compétences et talents, je me suis aperçue que ce qui m’empêchait d’oser, c’était moi. J’ai appris à me permettre de vivre ma vie. Très petit, on se dit “ce n’est pas possible”, alors que si !

Dans le parcours Chance, l’activité consistant à solliciter les conseils et retours de mon entourage m’a montré combien mes proches étaient vraiment bienveillants, infiniment moins sévères que je ne l’anticipais, que ce qui comptait pour eux était que je me sente bien, en sécurité. Ça a été un déclencheur très fort, qui m’a énormément aidée à choisir la voie qui m’avait toujours donné envie. Une autre activité d’auto-coaching assez puissante pour moi a été celle où on doit barrer les phrases à l’origine de croyances limitantes. Par exemple, “Ce n'est pas un métier, c’est un fantasme”.

J’ai renoué avec mes rêves 

J’ai toujours aimé les chevaux et l’équitation, j’ai toujours fait du volontariat au centre équestre qui est voisin de chez moi, et en vacances, je faisais toutes sortes de choses sans être payée, mais j’étais très heureuse. J’y passais mes journées entières de mes 10 ans à mes 20 ans.

Avec Chance, j’ai renoué avec cette période, je me suis souvenue qu’il n’y avait jamais eu un lieu où je me sentais si pleinement bien, à ma place. Je me suis donc dit que j’allais faire ça dans la vie : travailler avec les chevaux. Je veux donc être dans le tourisme équestre comme animatrice et monitrice. Je projetais depuis plusieurs mois de déménager hors de la ville, c’est donc en ligne avec mes projets personnels. 

Le mot de la fin 

Je pense qu’il ne faut pas hésiter, en fait. Je suis au chômage et je compte chaque sou, mais là, j’ai investi sur mon avenir. En faisant ce parcours, je savais que j’allais en réalité plus rapidement gagner ma vie.

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